Monnaies Etrangères

Avers : TUNISIE / 1 / FRANC / date dans un cercle d'entrelacs et d'étoiles

Revers : texte en arabe entre une palme et une branche d'olivier

Avers : TUNISIE / 2 / FRANCS / date dans un cercle d'entrelacs et d'étoiles

Revers : texte en arabe entre une palme et une branche d'olivier

Etat de conservation : brossée

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

Pièce brossée et avec de légers chocs.

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

Avers : la République assise à gauche 

Revers : 20/CENT dans une couronne formée de branches d'olivier et de chêne entremêlées

Etat de conservation : brossée

Dernier petit-fils de Louis XV, Charles X succéda à  ses deux frères, Louis XVI et Louis XVIII. Il est le roi de France le plus âgé, à  son avènement (66 ans) comme à  son décès (79 ans). Son règne dura donc près de 6 années.

-

Pièce ayant de légers chocs.

Pièce ayant d'infimes chocs.

Avers : trois lis sous une couronne

Revers : dénomination de la pièce au centre d'un cercle

Avers : TUNISIE / 50 / CENTIMES / date dans un cerle d'entrelacs et d'étoiles

Revers : inscription en arabe entre une palme et une branche d'olivier

Commentaire sur la monnaie : tirage 1000 exemplaires

légers chocs

Charles-Philippe de France comte d'Artois plus connu sous le nom de Charles X, né le 9 octobre 1757 au château de Versailles à Versailles en France et mort le 6 novembre 1836 à Görz en Autriche, fut roi de France et de Navarre de 1824 à 1830. Il est le deuxième et dernier roi de France de la Restauration (1814-1830).

nettoyée

La drachme était l’unité monétaire légale de la Grèce moderne, entre 1831 et le 31 décembre 2000.

La drachme était divisée en 100 lepta . Son nom provient d’une monnaie antique, le drachme antique grecque. 

Le 1^er janvier 2001, la drachme est devenue une division nationale de l’euro, la monnaie commune. Le 1^er janvier 2002, la drachme a totalement cessé d’être unité de compte, avant de cesser rapidement son cours légal (totalement remplacé par l’euro devenu monnaie unique) ; les pièces et billets en drachmes ont depuis été totalement démonétisés.

La drachme était l’unité monétaire légale de la Grèce moderne, entre 1831 et le 31 décembre 2000.

La drachme était divisée en 100 lepta . Son nom provient d’une monnaie antique, le drachme antique grecque. 

Le 1^er janvier 2001, la drachme est devenue une division nationale de l’euro, la monnaie commune. Le 1^er janvier 2002, la drachme a totalement cessé d’être unité de compte, avant de cesser rapidement son cours légal (totalement remplacé par l’euro devenu monnaie unique) ; les pièces et billets en drachmes ont depuis été totalement démonétisés.

La drachme était l’unité monétaire légale de la Grèce moderne, entre 1831 et le 31 décembre 2000.

La drachme était divisée en 100 lepta . Son nom provient d’une monnaie antique, le drachme antique grecque. 

Le 1^er janvier 2001, la drachme est devenue une division nationale de l’euro, la monnaie commune. Le 1^er janvier 2002, la drachme a totalement cessé d’être unité de compte, avant de cesser rapidement son cours légal (totalement remplacé par l’euro devenu monnaie unique) ; les pièces et billets en drachmes ont depuis été totalement démonétisés.

Tout au long de l'histoire moderne de l'Allemagne, la référent monétaire fut le Mark. En fonction des époques et des régimes politiques, les dénominations officielles de cette monnaie ont été :
                  -Le Goldmark (mark-or), unité monétaire de l'Empire allemand de 1871 à 1914,
                  -Le Papiermark (mark papier), système monétaire de l'Empire allemand (1914-1918) puis de la République de Weimar (1919-1923),
                  -Le Reichsmark (abréviation RM), qui après une période d'hyperinflation (1922-1923) et la création du Rentenmark, devient l'unité monétaire de la République de Weimar (1924-1933), du Troisième Reich (1933-1945) et de l'Allemagne occupée par les forces alliées (1945-1948),
                  -Le Mark est-allemand (DDM, Mark der DDR ou Ostmark), unité monétaire de la République démocratique allemande (RDA) de 1948 à 1990,
                  -Le Deutsche Mark (DEM1) , unité monétaire de la République fédérale d’Allemagne de juin 1948 au 31 décembre 2001, avant son remplacement par l’euro.

Le Mark était subdivisé en 100 pfennigs.

Pièce de 1 pfennig en cuivre

Avers : grand aigle impérial aux ailes déployées

Revers : valeur faciale entourée par la légende

Etat de conservation : infime corrosion

Pièce de 2 rentenpfennig en bronze

Avers : 19/24 de part et d'autre d'une gerbe d'épis de blé 

Revers : valeur faciale dans un cercle entourée par la légende

Pièce de 15 kreuzer en cuivre

Avers : Tête nue de François I à droite, au centre d'un losange perlé

Revers : Aigle bicéphale couronné, les ailes déployées et tenant un sceptre et une épée, au centre d'un losange perlé

Etat de conservation : légers chocs

Avers : marteau et compas sur 2 épis de blé

Revers : valeur faciale entre deux étoiles à quatre branches

Etat de conservation : infimes traces

Avers : emblème de la RDA - marteau et compas

Revers : 50/PFENNIG sur deux lignes, une feuille de chêne au-dessus

Etat de conservation : infimes chocs

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

La piastre indochinoise  est l'unité monétaire et de compte utilisée dans l'Indochine française entre 1885 et 1952. Elle est divisée en 100 centièmes, chaque centième étant à son tour divisé en 5 sapèques.

La Banque de l'Indochine possédait alors le monopole d'émission de la piastre.

Avers : écu couronné du Luxembourg

Revers : valeur faciale et millésime sur trois lignes dans une couronne végétale

Etat de conservation : légers chocs

Avers : écu couronné

Revers : dénomination et année/atelier sur 4 lignes

Avers : écu de la Prusse couronné

Revers : dénomination, date et atelier sur 4 lignes

Avers : écu de la Prusse couronné

Revers : dénomination, date et atelier sur 4 lignes

1 pfennig

Etat de conservation : infime choc

Avers : monogramme couronné de Georg Wilhelm

Revers : inscriptions dans le champ

Avers : tête nue à droite de Frédéric Guillaume IV

Revers : valeur faciale, millésime et atelier

Avers : armoiries couronnées, légende autour

Revers : valeur faciale, date et atelier, légende autour

Avers : tête nue d'Ernest-Louis à gauche

Revers : aigle impérial couronné

Etat de conservation : infimes chocs.

Pièce nettoyée.

Tout au long de l'histoire moderne de l'Allemagne, la référent monétaire fut le Mark. En fonction des époques et des régimes politiques, les dénominations officielles de cette monnaie ont été :
           -Le Goldmark (mark-or), unité monétaire de l'Empire allemand de 1871 à 1914,
           -Le Papiermark (mark papier), système monétaire de l'Empire allemand (1914-1918) puis de la République de Weimar (1919-1923)
           -Le Reichsmark (abréviation RM), qui après une période d'hyperinflation (1922-1923) et la création du Rentenmark, devient l'unité monétaire de la République de Weimar (1924-1933), du Troisième Reich (1933-1945) et de l'Allemagne occupée par les forces alliées (1945-1948),
           -Le Mark est-allemand (DDM, Mark der DDR ou Ostmark), unité monétaire de la République démocratique allemande (RDA) de 1948 à 1990,
           -Le Deutsche Mark (DEM1) , unité monétaire de la République fédérale d’Allemagne de juin 1948 au 31 décembre 2001, avant son remplacement par l’euro.
Le Mark était subdivisé en 100 pfennigs.

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Pièce en argent ayant d'infimes chocs.